Voyons, qu’allez-vous raconter ?
Voyons, lève-toi et laisse-moi me lever aussi.
Voyons, Bertin, vous qui êtes artiste, qu’en pensez-vous ?
Voyez-vous, il faut toujours prendre un mois d’avance
Voyant son embarras, il l’encouragea :Eh bien, ma fille, on dirait que vous n’osez pas ; voyons, prenez courage
Vous, monsieur, que votre talent élève au-dessus des autres, vous qui écrivez, qui enseignez, qui conseillez, qui dirigez le peuple, vous avez une belle mission à remplir, un bel exemple à donner...
Vous voyez que je ne vous tutoie plus.
Vous vous débattrez, éperdu, noyé, dans les incertitudes
Vous vous amuserez bien sans moi.
Vous trouverez à placer par là vos compliments, bien qu’elle soit honnête, entendez-moi bien, tout à fait honnête
Vous seriez bien gentil, vous, d’aller m’en chercher un, un curé, et de le choisir.
Vous serez madame la Marquise, madame la Duchesse ou madame la Princesse, et vous me regarderez de très haut, mamz’elle
Vous savez que la musique m’hypnotise, elle boit mes pensées.
Vous savez que je ne veux pas...
Vous savez qu’il n’admet pas qu’on soit malade deux jours de suite sans attestation du médecin
Vous réussissez très bien le pastel.
Vous referez vite connaissance
Vous raconterez vos souvenirs, et vous mêlerez à ça la question de la colonisation, comme tout à l’heure.
Vous pouvez vous recoucher, monsieur ; nous allons vous laisser seuls
Vous pouvez faire et voir tant de choses.